La sauteuse en longueur américaine Tara Davis-Woodhall a été récemment déchue de son titre national en salle et suspendue pendant un mois après avoir été contrôlée positive au THC, la principale substance psychoactive du cannabis. Ce contrôle positif a été effectué lors des championnats d’athlétisme en salle des États-Unis en février 2023, le jour même où elle avait remporté le titre. Bien que la légalisation du cannabis soit en hausse aux États-Unis, il est toujours considéré comme une substance interdite dans les compétitions sportives conformément aux règles de l’Agence mondiale antidopage (AMA). Dans cet article, nous allons explorer en détail les circonstances qui limitent le contrôle positif de Davis-Woodhall, les conséquences pour sa carrière sportive et les débats actuels sur la légalisation du cannabis dans le sport.
La sauteuse en longueur américaine déchue de son titre national
La sauteuse en longueur américaine Tara Davis-Woodhall a été déchue de son titre national en salle après avoir été contrôlée positive au cannabis lors des championnats d’athlétisme en salle des États-Unis en 2023. Cette nouvelle a entraîné l’indignation dans le monde du sport et a relancé le débat sur la légalisation de la marijuana dans le sport. L’utilisation de substances interdites en compétition peut avoir des conséquences graves, y compris la disqualification des résultats de compétition et la suspension des athlètes.
Suspension d’un mois pour Tara Davis-Woodhall après un contrôle positif au cannabis
La sauteuse en longueur américaine Tara Davis-Woodhall a été récemment suspendue pendant un mois par l’Agence américaine antidopage (USADA) après avoir été contrôlée positive au THC, une substance interdite selon les règles de l’Agence mondiale antidopage (AMA).
Son test positif a été retenu en compétition lors des championnats d’athlétisme en salle des États-Unis en 2023 à Albuquerque. Cette suspension a entraîné la perte de son titre, puisqu’elle a été disqualifiée de tous les résultats de la compétition obtenus le 17 février et après cette date.
Cependant, la suspension de Davis-Woodhall a été réduite à un mois en raison de certaines circonstances atténuantes, notamment le fait qu’elle ait suivi un programme de traitement de l’abus de substances pour sa consommation de cannabis et qu’elle ait prouvé que la substance avait été pris hors compétition et qu’elle n’était pas liée à la performance sportive.
Cette situation soulève des questions sur la réglementation de la marijuana dans le sport et suscite des débats sur la manière dont elle ne devrait pas être traitée en compétition.
Suspension de Davis-Woodhall purgée après avoir commencé le 21 mars
La sauteuse en longueur américaine Tara Davis-Woodhall a récemment terminé sa suspension d’un mois après avoir été contrôlée positive au THC, une substance interdite selon les règles de l’Agence mondiale antidopage (AMA).
Sa suspension a commencé à être purgée le 21 mars, après que l’Agence américaine antidopage (USADA) a déterminé qu’elle avait consommé du cannabis hors compétition et que cela n’était pas lié à une amélioration de ses performances sportives. En effet, selon les règles de l’AMA, le THC permet une suspension réduite de trois mois si l’athlète obtient que la substance a été prise hors compétition et qu’elle n’est pas liée à la performance sportive.
Bien que Davis-Woodhall ait perdu son titre national en salle et ait été disqualifiée de tous les résultats de compétition obtenus le 17 février et après cette date, y compris le retrait de toutes les médailles, points et prix, elle est désormais de retour à l’entraînement et peut participer à des compétitions à nouveau.
L’USADA plaide pour que la marijuana soit traitée d’une manière plus juste et efficace en compétition
L’Agence américaine antidopage (USADA) a récemment plaidé en faveur d’un traitement plus juste et efficace de la marijuana en compétition. En effet, malgré la légalisation croissante de cette substance aux États-Unis et les quelques ligues de sport qui ne la dépistent plus, le THC est toujours considéré comme une substance interdite selon les règles de l’Agence mondiale antidopage (AMA).
L’USADA sollicite donc des commentaires sur la version actualisée de la Liste des interdictions chaque année et reconnaît à plaider auprès de l’AMA pour que la marijuana soit traitée de manière plus juste et plus efficace afin d’identifier une véritable utilisation en compétition. Selon les règles de l’AMA, le THC permet une suspension réduite de trois mois si l’athlète présenté que la substance a été prise hors compétition et qu’elle n’est pas liée à la performance sportive.
Dans le cas de la sauteuse en longueur américaine Tara Davis-Woodhall, sa suspension a été réduite à un mois pour ces raisons et parce qu’elle a suivi un programme de traitement de l’abus de substances pour sa consommation de cannabis.
Il est donc essentiel que les règles antidopage soient régulièrement réévaluées et mises à jour pour permettre les évolutions sociales et médicales liées à la consommation de substances illicites et ainsi garantir l’équité et la sécurité des compétitions sportives.
En conclusion, la suspension de Tara Davis-Woodhall et sa perte de titre national en salle soulèvent des questions sur la pertinence de la liste des substances interdites dans le sport établie par l’Agence mondiale antidopage (AMA). Alors que la légalisation du cannabis se poursuit aux États-Unis et que certaines ligues sportives commencent à revoir leur politique en matière de dépistage, les athlètes sont toujours soumis à des règles strictes en ce qui concerne les substances interdites. Cependant, les appels se multiplient pour que la marijuana soit traitée de manière plus juste et efficace dans les compétitions sportives. En fin de compte, il est essentiel que les décisions en matière de dopage dans le sport soient fondées sur des preuves et garantissent l’intégrité du sport, tout en étant justes et équitables pour les athlètes concernés.